De plus en plus de particuliers font le choix du parquet pour habiller une pièce. En plus d’être économique, il ne faut pas être un bricoleur chevronné pour le poser. Collée, flottante ou clouée, chaque type de parquet à sa méthode !
La plus rapide : la pose flottante
L’avantage du parquet flottant est qu’il s’adapte à toutes les bases. Pour assurer une bonne isolation et une surface parfaitement plane, il ne faut pas oublier de le coupler à une sous-couche. Pour cette étape, n’oubliez pas votre cutter pour la découpe et votre agrafeuse pour la fixation.
Avant de poser votre parquet flottant, assurez-vous d’avoir le bon matériel à disposition. Il comprend un mètre, une équerre ou un niveau à bulle, une scie sauteuse pour la découpe, des cales et une cale à frapper pour ne pas abîmer les lames et un maillet pour emboîter les lames les unes aux autres.
La plus économique : la pose collée
Si elle est particulièrement adaptée aux parquets massifs, elle s’adapte aussi aux parquets contrecollés. En revanche, la pose collée est, cette fois, réservée à des bricoleurs avancés. Pour cela, il vous faudra maîtriser la découpe à la scie sauteuse et la scie circulaire, et surtout, prendre les bonnes mesures.
Avant chaque pose, n’oubliez pas de nettoyer la surface avec un aspirateur, car la poussière peut empêcher la colle d’adhérer à la surface.
La plus traditionnelle : la pose clouée
L’outil indispensable pour ce type de pose est la lambourde. Ces lambourdes vont servir de support aux lames de parquets et doivent être fixées sur une sous-couche isolante.
Côté matériel, en plus des outils classiques, munissez-vous de clous à tête plate et utilisez un chasse-clou pour garantir un bon emboîtement.
Attention, cette pose demande une grande technique, il peut dont être utile de faire appel à un parqueteur professionnel.