100% d’avantages
Faire son compost soi-même n’offre que des avantages : recycler des déchets, réduire votre impact carbone, favoriser la biodiversité et encourager la croissance de vos légumes !
Les gestes à respecter
Avant tout, afin d’optimiser au maximum le rendement de son composteur, il est conseillé qu’il ait une bonne exposition : dans un lieu idéalement ni trop ensoleillé ni trop ombragé. Il doit également reposer sur un sol nu (pas de béton ou de dalle). Une fois votre composteur placé, vous devez disposer des branchages au fond du bac afin que celui-ci soit bien aéré.
Mais peut-on tout mettre dans un composteur ? Ce n’est pas une poubelle, mais vous pouvez y mettre plus que des branches ou des épluchures. De petits morceaux de carton vont par exemple aider au développement du compost. Vous pouvez également y mettre les restes de tonte de gazon, des orties ou du purin d’ortie ou encore des feuilles. Concernant les déchets du quotidien, vous pouvez composter vos épluchures de fruits ou de légumes, mais aussi des coquilles d’œuf concassées, des restes de fleurs, des sachets de thé ou tisane car ceux-ci sont biodégradables, ou encore les cendres de votre cheminée. Avec tout cela, vos tomates feront rougir les voisins !
Les choses à ne pas faire
C’est très simple, vous ne devez simplement pas mettre au compost des restes de coquillages type moules, pas d’agrumes, pas de plantes ou de mauvaises herbes avec racines, pas de poisson ou de viande et pas d’os. En règle générale, on met principalement du végétal au compost.
Il est très simple de faire son propre compost. On l’alimente quasiment quotidiennement avec les restes de cuisine ou de jardinage et au bout de quelques mois on le vide dans son jardin pour enrichir la terre. La boucle est bouclée. Quoi de plus naturel ?